République Démocratique du Congo
Un projet qui change la vie des villageois
Kaloma Bamiriyo, après une longue carrière d'infirmière en Belgique, a décidé de revenir dans son pays d'origine et d'aider les populations locales. Lorsqu'elle est arrivée sur le Plateau des Bateke, les enfants mouraient de faim, les parents n'avaient pas de travail, ils n'avaient aucune perspective. La population locale n'avait pas accès aux services de santé de base et l'accès à l'eau était très compliqué.
Dix ans plus tard, les familles cultivent plus de 1.000 hectares, des milliers d'arbres ont été plantés et l'eau est accessible. Kaloma a également créé une école, ouvert deux centres de santé et de petites entreprises se sont développées. L'espoir est de retour.
Education
Les enfants devaient marcher de longues heures pour se rendre à l'école et le niveau d'éducation n'était pas adéquat. Avec l'aide de bienfaiteurs et de fondations, différentes classes ont été construites, des enseignants ont été engagés. Dès à présent, les enfants peuvent apprendre à lire et écrire, près de chez eux.
Pour attirer de bons enseignants, de petites maisons ont été construites pour eux afin que les enfants puissent bénéficier d'une bonne éducation.
Un réfectoire a été construit et grâce à un donateur, les enfants reçoivent du lait à l'école. Kaloma prévoit aussi la construction de nouvelles classes et d'un espace pour l'école gardienne.
Agriculture
Pour permettre à la population locale de manger et de sortir de la pauvreté, plus de mille hectares de terres cultivables ont été acquis.
Un système de micro-crédit leur permet de démarrer leurs activités agricoles et de pouvoir rembourser une fois la récolte terminée. Le but est de les rendre aussi autonomes et responsables que possible. La culture du manioc, du piment, du maïs, des haricots est d'ailleurs très populaire.
Ils ont aussi développé l'apiculture et vendent leur très bon miel.
Soins de santé
Comme la population n'avait pas accès à de bons soins de santé dans la région, Kaloma a réhabilité deux centres de santé et construit un centre de santé mère-enfant, offrant ainsi des soins de santé à la population, même aux plus pauvres.
Un programme spécial pour les enfants souffrant de malnutrition a également été mis en place, réduisant drastiquement le nombre d'enfants qui meurent de faim dans les deux villages.
Reforestration
Les villageois ayant l'habitude d'abattre tous les arbres pour fabriquer du charbon de bois, le Plateau des Bateke a été en grande partie déboisé.
Depuis quelques années, un projet de reforestation a été lancé et chaque année, des milliers d'arbres fruitiers et d'autres essences sont replantés. Quand vous passez devant les villages, le paysage est déjà très différent et bien boisé !
Inde
Ecole en anglais pour plus de 225 garçons et filles
Le Père Bernardine, choqué par la mauvaise qualité de l'enseignement pour les garçons, mais surtout pour les filles, permet à plus de 225 jeunes d'aller dans une très bonne école, où l'enseignement se fait en anglais.
L'éducation reçue leur permet de sortir de la pauvreté, d'obtenir une bonne éducation qui leur permettra d'entrer dans une vie professionnelle plus prometteuse.
Education
Les enfants sont issus de milieux pauvres et l'école en anglais leur permet de recevoir une excellente éducation. Le football et le basket-ball sont très populaires parmi les garçons, les filles aiment jouer ensemble et utiliser leur créativité pour bricoler.
Un bus vient les chercher tous les matins pour aller à l'école et les ramènent à la maison.
Philippines
Excellent projet d'éducation
Sonia et Boy Palami ont créé une petite école dans un sous-sol pour des enfants extrêmement démunis.
35 ans plus tard, l'école est devenue une référence nationale en matière d'éducation de qualité et de développement personnel, et accueille chaque année plus de 1.700 enfants.
Les sport, la musique et la danse constituent une partie importante du programme scolaire et la chorale de l'école a reçu différents prix régionaux et nationaux.
Ecole technique
Après le typhon meurtrier Haiyan en 2013, une école technique a été ajoutée, permettant, chaque année, à 800 jeunes professionnels de participer à la reconstruction de Tacloban et de ses environs.
Différents cursus sont proposés : plomberie, électricité, menuiserie, couture, cuisine, hôtellerie, etc. 90% des jeunes trouvent facilement un emploi après leur formation technique et 10% décident de poursuivre leur éducation.